À compter du 2 janvier, l’accueil de la Mairie sera désormais fermé au public les mardis après-midi, de 14h à 18h. Cette fermeture concerne également la permanence de l’état civil liée à la maternité, qui ne sera plus accessible durant ces horaires. Nous vous invitons à prendre vos dispositions et à privilégier les autres créneaux pour vos démarches administratives. Merci de votre compréhension.
Les services administratifs de la mairie ainsi que les services municipaux seront exceptionnellement fermés à 16h30 les 24 et 31 décembre. Merci de votre compréhension.
Retrouvez en replay l'intégralité de vos conférences thématiques !
L’Université populaire permanente fait sa rentrée ! Depuis 2021, l’Université populaire permanente vous informe et vous questionne sur des thématiques diverses et variées : valeurs de la République, amour, Ecole, 5G, vacances.
Pour cette nouvelle édition, la ville vous propose d’aborder de nouveaux sujets qui clivent et structurent la société d’aujourd’hui ! Cette année la liberté d’expression, les effets des réseaux sociaux, l’apprentissage de l’égalité femme/homme, et l’avenir des BRICS seront à l’honneur.
Le 8 décembre 2020, c’est-à-dire à la veille du 115ème anniversaire de la loi de séparation des Églises et de l’État, la Ville a organisé une conférence-débat sur le thème : La République assure la liberté de conscience : qu’est-ce que la laïcité ?
Retransmise en direct sur le site de la ville et sur son compte Facebook, la conférence était conduite par Patrick Weil, directeur de recherche au CNRS et historien spécialiste des questions de citoyenneté et d’immigration et Ghislaine Hudson, proviseure honoraire du lycée Darius-Milhaud et médiatrice de l’Éducation nationale. Tous deux ont été membres de la commission Stasi, qui avait été chargée en 2003 par le Président Jacques Chirac de réfléchir à la façon de faire vivre la laïcité à notre époque.
À l’issue de leur intervention, les deux conférenciers ont répondu aux questions que les Kremlinois ont pu leur poser via le compte Facebook de la ville.
Le débat relatif à la 5G, qui permettrait d’échanger sans temps de latence 14 à 20 fois plus de données que l’actuelle 4G, s’enflamme. Il se cristallise, notamment, autour des problématiques environnementales et sanitaires que soulève cette nouvelle technologie.
Alors que la 5G va d’abord servir à avoir une communication ultra-rapide entre les objets connectés, son utilité absolue est remise en cause car cette fois-ci, elle n’a pas pour but d’améliorer les performances de nos smartphones.
En effet, cette nouvelle technologie doit permettre de développer notamment les smart cities par le biais de parkings connectés, d’éclairage public intelligent ou encore favoriser les maisons connectées (frigidaires, télés, ordinateurs, machines à café connectées). Avec plus de 30 milliards d’objets connectés dans le monde actuellement et une augmentation de 20% tous les ans, quels sont les enjeux pour la 5G ?
Se pose également la question de la souveraineté numérique et de la protection des données personnelles à l’heure où les acteurs des télécoms du monde entier mènent une course impitoyable pour gagner les parts de marché. Dans ces conditions, quel acteur et quelle protection des données pour la France ?
Retrouvez la retransmission de la conférence en ligne animée par le journaliste Maxime Trédan et les deux intervenants Jacques Moulin, directeur général d‘Idate Digiworld et Gauthier Roussilhe, auteur de La controverse de la 5G.
L’année 2020, marquée par la crise sanitaire, a également été celle du confinement. Dans ce contexte, la question du logement a pris une place prépondérante et le mal-logement tout son sens : sur-occupation, insalubrité, passoire thermique, acoustique défaillante… La crise sanitaire a contribué à mettre en lumière les inégalités, déjà existantes, en matière d’accès à un logement décent et adapté.
Selon les calculs de l’Union sociale pour l’habitat, entre 65 et 70% de la population française est éligible à un logement social. Or, le temps d’attente entre la demande et son attribution en Ile-de-France est en moyenne de 33 mois, soit près de trois ans.
En parallèle, d’autres dispositifs permettent de limiter le coût du loyer notamment dans le parc privé : encadrement, construction de logements neufs à coût maitrisé, aides personnalisées au logement. Cependant, cet ensemble de mesures ne constitue pas une politique sociale du logement claire et identifiée pour répondre à tous les défis actuels.
La conférence en ligne était animée par la journaliste Antonella Francini et les deux intervenants Catherine Sabbah, présidente de l’institut des Hautes Etudes pour l’Action dans le Logement (IDHEAL) et Eddie Jacquemart, président de la Confédération Nationale du Logement. La web-conférence était retransmise en direct sur la page Facebook de la ville.
La mobilité urbaine est un enjeu crucial aujourd’hui, et le sera encore davantage dans les années à venir. Partage de l’espace public, expansion de l’utilisation des mobilités douces, la nécessaire mise en œuvre d’une offre multimodale de qualité ou encore l’avenir du véhicule personnel sont autant de préoccupations auxquelles les villes doivent d’ores et déjà répondre.
En tant que commune de la Métropole du Grand-Paris, le Kremlin-Bicêtre est particulièrement impacté : prolongation de la ligne 14 dans le cadre du projet du Grand Paris Express, mise en place de la zone à faibles émissions (ZFE), installation de la coronapiste avenue de Fontainebleau font partie des problématiques locales auxquelles la municipalité est confrontée.
A ce titre, une commission a été créée. Depuis février, la commission extra-municipale sur les mobilités réunit des élus, des Kremlinois et des associations pour échanger autour des mobilités et des déplacements au Kremlin-Bicêtre.
Afin de sensibiliser et associer chaque Kremlinoise et Kremlinois, la Ville a proposé une conférence en ligne le Mercredi 23 juin à 20h30 sur la plateforme Zoom, retransmis en direct sur la page Facebook de la ville dans le cadre de la programmation des Assises de l’écologie populaire avec :
Mariane Thébert, chercheuse associée au Laboratoire Ville Mobilité Transport
Sébastien Bailleul, directeur régional de Wimoov
Animée par Antonella Francini
Le Kremlin-Bicêtre a organisé le 28 novembre 2021 son premier référendum kremlinois annuel. L’objectif, c’est que les Kremlinois décident à la place des élus sur une question d’intérêt général et local. Partant du constat de la nécessité de démocratiser la démocratie, la municipalité souhaite organiser chaque année un référendum local. Qu’est-ce que ce dispositif ? Comment fonctionne-t-il ? En quoi est-il un outil utile au service de l’expression des citoyens ?
Intervenants : Paul Cébille, chargé d’études senior à l’IFOP, spécialisée dans les études d’opinion et les dispositifs de consultations citoyennes et Quentin Dupetit, membre du Conseil d’administration de Démocratie Ouverte.
En 50 ans, le monde du travail a beaucoup évolué : salarisation importante des Français dans les années 60, acquisition de cinq semaines de congés payés, instauration de la semaine des 35 heures, émergence de nouvelles formes de travail, remise en cause du fordisme et évolutions managériales, apparition de nouveaux métiers, augmentation de l’auto-entreprenariat, enjeu de formation, multiplication des reconversions professionnelles, apparitions de nouvelles maladies professionnelles, banalisation du télétravail… et demain, à quelles mutations pour le monde du travail devons-nous nous attendre ?
Intervenants :
Sophie Bernard, titulaire d’un doctorat de l’Université Paris Nanterre, elle est chercheure à l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (IRISSO) depuis 2006 et membre Junior de l’Institut Universitaire de France depuis 2015. Autrice de Le nouvel esprit du salariat, elle est également professeure de sociologie à l’Université Paris Dauphine depuis 2017. Ses recherches portent sur la sociologie du travail et de l’emploi.
Jean-Yves Boulin, chercheur associé à l’IRISSO, il est membre d’ATEMIS (Laboratoire privé fondé par des économistes, ergonomes, sociologues et consultants sur le thème de l’Analyse du Travail et des Mutations de l’Industrie et des Services – ATEMIS) et également vice-président de l’association Tempo territorial. Il travaille notamment sur le temps de travail. Il a co-écrit ce sujet Les batailles du dimanche.
Les fake news sont des informations délibérément mensongères diffusées par un média ou un réseau social afin d’influencer l’opinion. Ces fausses informations se propageraient jusqu’à six fois plus vite que les vraies, alimentant par la même occasion les théories du complot. Comment une fausse information se crée-t-elle ?
Dans quel but ? Comment démêler le vrai du faux ?
Intervenants :
Nadjet Ghemzi de l’association FakeOff, première association de journalistes issus essentiellement du monde de l’audiovisuel à s’engager pour le développement de l’esprit critique et la lutte contre la désinformation de masse chez les jeunes. Nadjet est journaliste d’investigation et grand reporter pour les chaînes de télévision françaises et internationales, elle a notamment réalisé des reportages et documentaires pour France Télévision, M6, Arte et Al Jazeera.Elle a rejoint l’association Fake Off en 2015 après les attentats de Charlie Hebdo.
Philippe Granarolo, philosophe, auteur de Fake News et post vérité.
Le surpoids et l’obésité sont des enjeux à la fois de santé publique et sociaux. Avec près d’un Français sur deux en situation de surpoids et/ou d’obésité, dont une part d’augmentation inquiétante chez les adolescents et les enfants, les problèmes de poids sont une réalité qui pourtant reste encore taboue. Souvent surnommée, « la maladie des pauvres », comment endiguer ce phénomène sanitaire et lutter contre les discriminations qu’elle peut engendrer ?
Intervenants :
La ligue contre l’obésité, premier organisme non gouvernemental français qui regroupe tous les acteurs qui aident à la prévention et à la lutte contre la maladie de l’obésité. Sébastien Czernichow, chef du service de nutrition à l’hôpital européen Georges Pompidou, professeur de nutrition à l’université Paris-Descartes et chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM).
L’idée de congés payés naît dans les années 1920. Il faudra attendre une ordonnance du 16 janvier 1982 pour promulguer le droit aux cinq semaines de congés payés. Dès lors, que faire de ce temps libre retrouvé ? Est-on obligé de partir juste pour faire comme les autres ? Comment fait-on quand nous n’avons pas les moyens de partir en vacances ? Existe-t-il un droit aux vacances ? Comment contrer l’injonction sociale au voyage ? En somme, qu’attendons-nous des vacances ?
Pour en parler :
Marc Pili, délégué général de Vacances Ouvertes. Aurélie Condevaux, maître de conferences à l’institut de Recherche et d’Etudes Supérieures du Tourisme (l’IREST) à l’Université Paris 1 Panthéon- Sorbonne et membre de l’Equipe Interdisciplinaire de Recherches sur le Tourisme (l’EIREST).
L’amour n’échappe pas aux codes sociaux. De l’amour courtois il y a plusieurs siècles aux tentatives de « faire la cour », en passant par la galanterie pour arriver aux codes de la drague actuels, la rencontre amoureuse a toujours eu ses parades. Là où une part d’imaginaire et de liberté est encore possible dans la rencontre amoureuse, la notion de couple est quant à elle plus clairement définie, où le rôle de chacune et chacun serait déjà arrêté « naturellement ». Et s’il y avait différentes manières de s’aimer ? Et s’il était possible de questionner le couple pour le ré-inventer avec son amoureux ou son amoureuse ? Finalement, comment s’aime-t-on aujourd’hui ?
Intervenants :
Pascal Lardellier, professeur en sciences de la communication à l’université de Bourgogne (Dijon). Auteur de plusieurs ouvrages de sociologie, dont, notamment, Le Coeur Net. Célibat et amours sur le Web (Belin, 2004), Les Nouveaux rites. Du mariage gay aux Oscars (Belin, 2005), Le Pouce et la souris : Enquête sur la culture numérique des ados (Fayard, 2006). Gilles Tiberghien, philosophe et professeur à l’université Paris-Sorbonne et auteur de Aimer, une histoire sans fin.
La quête du bonheur est une aspiration à la fois personnelle et collective. Du carpe diem antique au bonheur intérieur brut, des sourires pleins les publicités à l’argent qui ne fait pas le bonheur, cette quête nous anime tous. En pleine pandémie mondiale, est-ce que cette volonté perdure ? Doit-on être heureux personnellement pour contribuer à créer une société heureuse ? Est-ce à l’État de nous outiller pour atteindre cet état d’allégresse ?
Intervenants
Jérémie Peltier, directeur des études de la Fondation Jean-Jaurès et auteur de La fête est finie ? Pauline Valade, agrégée et docteure en histoire moderne, chercheuse au sein du CEMMC de Bordeaux Montaigne et auteur de Le Goût de la joie. Réjouissances monarchiques et joie publique à Paris au XVIIIe siècle.
Que ce soit dans l’espace public ou dans la sphère privée, les femmes subissent des inégalités liées à leur genre. Aujourd’hui, les femmes consacrent en moyenne 3 heures et 26 minutes de leur journée aux tâches domestiques, contre 2 heures pour les hommes, elles sont plus souvent à la tête d’une famille monoparentale que leurs homologues masculins : en 2016, cette configuration familiale concerne 11,8 % d’entre elles contre seulement 2,7 % des hommes. Et, alors que 2,1 millions sont des « femmes au foyer », seuls 700 000 hommes le sont.. Et si le berceau du combat féministe se nichait dans la sphère privée ?
Des promotions sur des pots de Nutella qui provoquent des émeutes dans des supermarchés, des périodes de crises qui alimentent une peur de pénurie provoquant des ruptures de stocks sur des produits de première nécessité, des produits fabriqués à l’autre bout de la planète livrés en 24h, l’exploitation de travailleurs pour vendre toujours plus de vêtements : la surconsommation rendrait-elle folle ? Ce modèle est-il soutenable ?
Alors que les plus précaires sont les plus touchés par les bouleversements climatiques, se sont également les moins responsables de la pollution. Selon une étude d’OXFAM datant de 2020, les 10 % les plus riches de l’humanité étaient à l’origine de plus de la moitié (52 %) des émissions cumulées entre 1990 et 2015. Alors que les inégalités écologiques s’ajoutent aux autres, que l’écologie peut être un étendard de culpabilisation tandis que les plus aisés continuent de surconsommer, est-il possible de promouvoir
une écologie populaire ?
La poésie est une grille de lecture de l’époque à laquelle nous appartenons et dans laquelle nous évoluons. Les poètes contribuent à cet héritage. Des poèmes écrits il y a plusieurs centaines d’années continuent de résonner dans notre société et ses enjeux actuels. Comment les poètes contemporains appréhendent-ils ce travail d’héritage et de transmission aux générations futures ?
67% Français sont complexés par leur corps. Alors que le culte de la beauté fait des ravages depuis des siècles, il y a une banalisation du recours à la chirurgie esthétique promu par les influenceurs et véhiculée sur les réseaux sociaux. L’obsession du corps parfait peut aller jusqu’à mettre en péril la santé : développement de la musculature à outrance, troubles alimentaires ou encore régimes drastiques. Et le body positive dans tout ça ?
Les intervenants :
Catherine Grangeard, psychanalyste, elle est engagée dans la dénonciation de la fabrique de l’obésité par les diktats visant la minceur. Phillipe Liotard, anthropologue, il s’intéresse aux modifications que les humains font sur leur corps, depuis celles qui sont opérées par l’éducation jusqu’aux modifications plus invasives qui recourent au scalpel et aux aiguilles, à des fins esthétiques, fonctionnelles ou identitaires
Notre langue est en perpétuelle évolution. Chaque année les mots faisant leur entrée dans le Petit Robert sont scrutés avec attention. Véritable miroir de notre société, ces nouveaux mots en disent long sur les débats et sur les faits qui ont marqué notre pays. Comment un mot devient viral voire le symbole d’une génération ? Avec l’explosion de l’utilisation des messages vocaux qui a volé la vedette au langage sms, l’inquiétude des professeurs sur la maitrise de la langue française par leurs élèves et le désintérêt pour la lecture, délaissons-nous notre langue ?
Les intervenants :
Françoise Gadet, professeure émérite de sociolinguistique à l’université de Nanterre et membre du collectif les Linguistes atterrées, elle est notamment l’autrice de La variation sociale en français et Les parlers jeunes dans l’Ile-de-France multiculturelle. Jean Pruvost, professeur émérite de lexicologie et de lexicographie de l’Université de Cergy-Pontoise. Il a dirigé un Master Sciences du langage ainsi que le laboratoire CNRS Lexiques Dictionnaires Informatique. Il est par ailleurs Directeur éditorial des Éditions Honoré Champion.
Seule 31 % de licences sont féminines au sein des fédérations olympiques. Parce que l’on impose encore trop souvent aux petites filles de jouer à la poupée plutôt qu’au ballon, que l’on assimile la compétition à la force masculine, que certains sports restent exclusivement masculins et que les retransmissions de compétitions féminines sont reléguées au second plan au même titre que le salaire de ces athlètes, à la veille des jeux olympiques, interrogeons-nous sur le sport comme vecteur d’égalité femme/homme.
Les intervenantes :
Marie Höel, chargée de mission responsabilité sociétale à la Fédération Française de Basketball, elle est diplômée du Master EGAL’APS : « Égalité dans et par les Activités Physiques et Sportives », master unique en France qui associe les études sur le genre et les STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives). Anne Schmitt, sociologue du sport, du genre et du corps et maîtresse de conférence, ses travaux de recherche se situent dans le champ de la sociologie du sport et s’articulent autour des problématiques liées aux inégalités sexuées. Dans son travail doctoral, elle étudie et compare les inégalités sexuées dans les programmes scolaires de surf et de voile à travers une dimension comparative internationale.
Selon l’IFOP, 66 % des Français estiment payer trop impôts et seul moins d’un Français sur trois se déclare satisfait de la qualité des services publics eu égard au montant des impôts et des taxes payés pour les financer. Est-ce que ce sentiment est avéré ? Est-ce que le système fiscal en France fonctionne bien ? Impôt sur le revenu, TVA (taxe sur la valeur ajoutée), taxe foncière, impôt sur la fortune immobilière etc… Il existe plus de 480 impôts, taxe et cotisations en France. Venez et devenez un expert des finances publiques en 45 minutes.
Dis-moi comment tu voyages et je te dirais qui tu es. Du voyage en calèche au voyage en avion low-cost en passant par la révolution ferroviaire jusqu’au grand retour du voyage pédestre ou à vélo, nous vous proposons de plonger dans l’histoire du voyage.
La liberté d’expression est-elle menacée ?
10 ans après les attentats de Charlie Hebdo, la liberté d’expression, fondamentale dans une démocratie est-elle menacée ?
Réseaux sociaux : quels impacts sur notre santé mentale ?
Comment les réseaux sociaux sont-ils conçus pour nous rendre dépendants et voler notre “temps de cerveau disponible ? Quel impact pour la santé mentale ?
Comment faire de l’école un lieu d’apprentissage de l’égalité femme/homme ?
Égalité femme/homme : Comment faire de l’école un lieu d’apprentissage de l’égalité ?
Quels enjeux et perspectives pour les BRICS ?
Nouvelles alliances, nouveaux membres, montée en puissance, défiance envers les pays occidentaux…